Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Laurie Lipton - Dessins

LAURIE_LIPTON_Death_the_Maiden,_43_x_34cms,_pencil.jpg

 

laurie Lipton 1.jpg

 

laurie lipton 2.jpg

 

laurie lipton 6.jpg

 

Laurie Lipton 0.jpg

 

Laurie-Lipton-Danse-Macabre.jpg

 

 

 

Laurie Lipton est née à New York en 1960 et elle a commencé à dessiner à l’âge de quatre ans. Elle a été la première personne à recevoir un diplôme en Beaux-arts, en dessin (avec distinction) de l’Université Carnegie-Mellon en Pennsylvanie. Elle a vécu en Hollande, en Belgique, en Allemagne et en France et elle réside à Londres depuis 1986. Ses œuvres ont été exposées à maintes reprises partout en Europe et aux États-Unis.

Mme Lipton a été inspirée par les peintures à caractère religieux de l’école flamande. Elle a essayé d’apprendre seule comment peindre dans le style des maîtres néerlandais du 16ème siècle, mais elle a échoué. Alors qu’elle voyageait en Europe quand elle était étudiante, elle a commencé à mettre au point sa propre technique curieuse de dessin, créant des tons avec des milliers de lignes fines hachurées de façon croisée comme l’application de détrempe à l’œuf. « C’est une façon folle de dessiner », a-t-elle déclaré, « mais les détails et la luminosité qui en résultent en valent l’effort. Il faut plus de temps pour créer mes dessins que pour réaliser une peinture d’une grandeur égale et comportant autant de détails.


C’était une forme d’art complètement abstraite et conceptuelle lorsque je faisais mes études universitaires. Mes professeurs m’ont enseigné que l’art figuratif n’était plus à la mode depuis le Moyen Äge et que je devrais m’exprimer en utilisant des formes ; mais des éclats de peinture sur une toile et des pierres par terre m’ennuyaient. Je savais ce que je voulais. Je tenais à créer quelque chose que personne n’avait jamais vu auparavant, quelque chose qui mijotait dans ma tête. J’avais l’habitude de m’asseoir pendant des heures à la bibliothèque et je copiais des oeuvres de Durer, Memling, Van Eyck, Goya et Rembrandt.

La photographe, Diane Arbus, fut l’une de mes inspirations. Son utilisation du noir et du blanc m’a ébranlée au plus profond de mon être. Le noir et le blanc constituent les couleurs des vieilles photos et des anciennes émissions de télévision... c’est la couleur des fantômes, de l’envie, du temps qui s’écoule, des souvenirs et de la folie. Le noir et le blanc ont mal. J’ai compris que c’était parfait pour la création d’images dans mon travail.

http://www.laurielipton.com/

Commentaires

  • Oserais-je dire que cette Mme Lipton n'est pas ma tasse de thé ?
    Reste que l'enfant dans les bras de sa mère-squelette est très fort.

  • c'est cette image que j'ai connu en premier et qui m'a violemment interpellé, sinon le travail de Mme Lipton est étrange et dérangeant, deux raisons qui font que je m'y suis intéressée ;-)) c'est très américain avec un passage par le Mexique, je n'y vois pas les toiles flamandes...

  • Oui le Mexique, mais la Flandre faut prendre des jumelles... et encore !

Les commentaires sont fermés.