Kay Nielsen
Forêt de symboles où je me perds et me retrouve, les émotions nouvelles se mêlent aux souvenirs… Le fil d’Ariane est ce père absent donc je n’ai cesse de chercher la main à moins que ce ne soit ce petit animal, vivant, tellement vivant qu’il en est savoureusement obscène. La vie déborde et c’est tellement beau.
cg in Journal 1992