Miroslava Rakovic
Je n’oublierai jamais ce voyage. J’ai vu, senti. Ce qu’il en reste ou restera, pure subjectivité, telle est la mémoire mais je n’oublierai jamais ! Le Brésil m’a marqué au feu, comme les esclaves qu’on y a emmené. Fer rouge. Souffre et sueur. Jamais dieu et diable ne se sont côtoyés de si près.
cg in Journal 1995