Ota Janeček - Záření II - 1978
Une à une, tombent les peaux qui recouvrent mes yeux, l'esprit s’épluche mais jamais assez nu encore. Sur des voies de plus en plus étroites, des pentes plus escarpées, je marche, c'est l’essentiel. Je marche sur mes mots et je fais sauter les murs, les uns après les autres. Qu'importe le sens, les contresens, c'est la flamme qui compte.
cg, novembre 1997
in Calepins voyageurs et après ?
Commentaires
Et c'est toujours la flamme qui compte...
le visuel est superbe !