Josef Hoflehner
Des cadeaux, encore des cadeaux de la vie ! C’est fou quand même. J’ai envie de rester, de découvrir l’immensité de cette terre du bout du monde… Du balcon, si je regarde en direction de l’océan que je ne vois pas - seulement le fleuve où s’égarent les requins - je peux flairer l’espace, le grand large, les confins du globe… Très loin en face, les côtes chiliennes. Au sud, le pôle et ses glaces, fouettées par les blizzards. Impossible d’être blasée, en moi il y a encore l’enfant qui voyage.
Cg in Calepin voyageurs