Lars Henkel
BRÈCHE
J’ai toujours aimé le nom de cette rue du village de mon enfance : rue de la Brèche. J’y pressentais comme une possible échappée, une trouée permettant l’évasion, une faille dans la stricte ordonnance des choses.
cg in Un vanity de vanités (Asphodèle, 2013)