Laura Burlton
Poésie, langue noire et chatoyante de la gitanerie. Fragilité, espièglerie, obsession de la mort, qu’en est-il du dosage andalou dans mon sang ? « Tu es seul et seul tu vivras », le bel héritage. Si vrai pourtant. Tener ángel ou tener duende ? La grâce céleste ou le noir pouvoir, caché au fond de nos entrailles ? Celui qui brûle les sangs, comme l’écrivait Llorca. L’ange descend sur nous, le duende remonte à la gorge, en connivence avec la mort intruse.
cg in A la loupe tout est rituel
Commentaires
fort texte