Eugène Savitzkaya
Le temps ne passe pas, il monte rejoindre le grand fluide, le « tout-temps » qui se dilate et ne peut qu’accueillir le courant des objets, des êtres et des mots lâchés comme buée dans le feu du soleil.
in Fou trop poli
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le temps ne passe pas, il monte rejoindre le grand fluide, le « tout-temps » qui se dilate et ne peut qu’accueillir le courant des objets, des êtres et des mots lâchés comme buée dans le feu du soleil.
in Fou trop poli
Commentaires
le temps qui monte rejoindre le grand fluide.... quelle poésie !
j'ai adoré ce recueil !! un poète à connaitre !