Isabelle Ducastaing
Il défroisse l’ambre de ses sentiers inconnus
Et son arbre s’étrange
Elle désourle des lèvres ses étoffes moirées
Et son jardin s’emmièle
Ils s’orchestrent à tâtons,
S’effeuillent goutte à goutte
Les voilà qui s’enfièvrent
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Il défroisse l’ambre de ses sentiers inconnus
Et son arbre s’étrange
Elle désourle des lèvres ses étoffes moirées
Et son jardin s’emmièle
Ils s’orchestrent à tâtons,
S’effeuillent goutte à goutte
Les voilà qui s’enfièvrent