Thomas Grison
Reste que les oies sauvages
N’ont d’yeux que pour le ciel
Du haut de leur mille ans d’oisiveté
in Sans aucun doute peut-être
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Reste que les oies sauvages
N’ont d’yeux que pour le ciel
Du haut de leur mille ans d’oisiveté
in Sans aucun doute peut-être
Commentaires
je suis tombé dessus par hasard; c'est une belle surprise et j'en suis touché... merci!
avec plaisir, une de mes façons de faire circuler la poésie