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Léon Maxime Faivre - Les deux mères - 1888

Léon Maxime Faivre Les deux mères 1888.jpg

 

Quelque chose de dense, de solide, sur quoi je peux m’appuyer. Un truc qui s’appellerait confiance, confiance en soi, quelque chose que j’aurais mis 35 années à ébaucher, grain après grain, infimes…

 
Et la lune danse entre les branches. De toute façon je n’ai plus le choix, je ne peux pas ne rien faire, il faut que je puisse avancer, devenir adulte à ma façon, mère à ma façon, femme à ma façon.

 

cg in Journal 2005

 

 

 

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