Tristan Cabral
Le pays d’où je viens a la couleur des lampes
Que les enfants conduisent aux limites du sable
(…)
Le pays d’où je viens n’a jamais existé
Un vieil enfant de sable y pousse vers le large
Un bateau en ciment qui ne partira jamais
in Mon pays mon naufrage
Commentaires
Magnifique clairvoyance d'un vieil enfant de sable