Cédric Le Penven
Tu sais que je m’enfonce. Quand j’ai besoin de créer des murs autour du silence. De lui construire une gangue. Un piètre édifice. Tu sais que je m’enferme pour chercher, que je parle avec un double. Que je frôle des canines aiguisées.
in L’immobile serti de griffes