Cédric Le Penven
Ce qu’il reste d’une mer, la roche tatouée de squelettes, la fantasmagorie plus dure, plus molle que la chair. Elle écarte des plaies qui rêvent de coups de rasoir. Ce rouge, ces ventres sioux tournés vers le ciel, c’est l’assurance de grandir un peu.
in L’immobile serti de griffes