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Pierre Colin

 

S.o.s. à la mer. S.o.s. à la pluie. Au suaire du vent qui nous colle à la peau.

 

 

 

Nous savons tous que les mots sont fossiles.

 Ecailles d’un autre âge.

 

  

Il ne reste presque plus rien des rêves. Seulement l’inachèvement des tempêtes, le bleu déchu du ciel dans nos vertèbres.

 

 

 Chaque jour le judas du temps montrant ses traces.

 

 

 

 

 

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