Jean Dif
Les rencontres m’effraient
et pourtant je le sais
qu’on ne lave bien son âme
que dans le regard d’autrui
in Sous les couteaux des horloges
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Les rencontres m’effraient
et pourtant je le sais
qu’on ne lave bien son âme
que dans le regard d’autrui
in Sous les couteaux des horloges