Marthe Émon-Peyrat
seins de silence
arbres profonds
la lumière transperçait les feuilles
tu me montrais les sangliers
qui se baignaient dans l’eau du monde
et qui gîtaient contre mon ventre
in tu as ouvert l’autre porte
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seins de silence
arbres profonds
la lumière transperçait les feuilles
tu me montrais les sangliers
qui se baignaient dans l’eau du monde
et qui gîtaient contre mon ventre
in tu as ouvert l’autre porte