Christian Edler
Gouttes de plomb dans les poches, colifichets de sève grise dans les archives de l’oubli. Pauvre trafic de barbelés à moudre, toujours encore, la gencive rugueuse, la bouche en brouette. Il nous faut vivre pourtant sous le remblai de l’aorte. Le crâne éclaté, les perles scotchées. La moelle en feu en vérité derrière la vitre.
cg in Surréel des surrénales