Sursis lu par Guénane
Tu nous emmènes en promenade dans tes boyaux. Tu regardes la vie dans son œil mort, tu franchis vers l'intérieur le mur du son, un écho surréel nous parvient, anténatal. Le clown a déserté tes dédales enfantins mais tu gardes malgré toi un souvenir de la lumière quand la bougie s'éteint.
Faite pour des fêtes étranges, tu hantes de lointains ailleurs, tu connais tes ancêtres Lune et Soleil, leur cortège de vent, sable, pluie, de jungle et de désert...
Ce qui est fort chez toi c'est juste ce petit détournement de mots simples, Cathy créative....