Hélène Dorion
Tu poses le pied,
c’est la mer
qui te dénoue.
Tu oublies presque la plaie
la pierre gisante,
sur le fil de la mémoire.
Depuis des années, tu regardes les branches
comme des racines,
qui s’approchent enfin.
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Tu poses le pied,
c’est la mer
qui te dénoue.
Tu oublies presque la plaie
la pierre gisante,
sur le fil de la mémoire.
Depuis des années, tu regardes les branches
comme des racines,
qui s’approchent enfin.