Efi Kokkinaki
Les sons : oiseaux, insectes, toujours un bruit de fond humain quelque part, une machine quelconque et la connexion avec des sensations qui semblent remonter de l’enfance, une sorte de solitude immémoriale, métaphysique, pour laquelle la nature forme un écrin familier, protecteur. Un cercle d’arbres qui frémissent et chuchotent des secrets éternels, apaisants. Mon alliance avec la nature ne doit pas dater de cette vie.
cg in Le livre des sensations