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Mathieu Slama - Adieu la liberté Essai sur la société disciplinaire

Après l'autorisation de sortie, le pass sanitaire, le pass vaccinal voici maintenant le certificat de rétablissement valable 4 mois...... je m'exprime rarement et encore moins publiquement sur ce que nous font vivre covidoux/covidur mais surtout ses marionnettistes, estomaquée la plupart du temps par l'enchainement qui ne laisse place à aucun recul et voudrait par-dessus le marché (de la finance) nous interdire toute réflexion, avec ça le nauséabond de l'approche à pas de fourbes des élections.... Étymologie : XIe siècle, eslire, « choisir ». Emprunté du latin populaire "exlegere", réfection, d’après legere, du latin classique eligere, « arracher en cueillant, choisir, trier, élire ». Choisir, trier.... On voit bien à quel point élire a été vidé de sons sens, car si personnellement je pouvais réellement choisir et trier, ils dégageraient tous.... Bon, suis tombée ce matin sur ce bouquin, je ne l'ai pas lu mais il a le mérite d'exister, souffle d'air, je mettrais un bémol sur le mot "science" et je remplacerais par "le casino de la science".... Cette disparition de la liberté ne date pas de 2020, elle est progressive, insidieuse et planifiée depuis bien plus longtemps.... Je ne suis donc pas surprise, loin de là, les années 80 commençaient déjà à sonner le glas en nous endormant sous des couches et des couches de consommation, nous avions obtenu trop de marge, nous les peuples "libérés" de l'après-guerre mais l'accélération des deux dernières années ceci dit m'a prise de court comme bon nombre d'entre nous, je n'en ai pas perdu pour autant ma capacité à observer et réfléchir...
 

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"La crise du Covid-19 a révélé un nouveau totalitarisme « soft » fondé sur une idéologie du « safe ». Dans cet essai incisif, Mathieu Slama analyse les faits et les mots qui ont fait croître l'acceptation de la servitude chez un peuple pourtant réputé rebelle depuis la Révolution.
Avec l'assentiment d'une majorité de Français, une société de l'ordre et de la surveillance s'est installée ; la démocratie est devenue management, le politique s'est effacé devant la science et les citoyens libres se sont transformés en population docile à discipliner.
Une éclipse de la liberté préparée de longue date par des renoncements successifs, rendant inéluctable l'avènement, comme l'écrivait en 1977 Gilles Deleuze, de "ce néofascisme, qui est une entente mondiale pour la sécurité, avec organisation concertée de toutes les petites peurs, de toutes les petites angoisses qui font de nous autant de microfascistes, chargés d'étouffer chaque chose, chaque visage, chaque parole un peu forte, dans sa rue, son quartier, sa salle de cinéma". "
 
 
 

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