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Olga Tokarezuk - Sur les ossements des morts (Pologne, 2010) Libretto, éd. 2012

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Une amie m'a conseillé ce livre et je viens de le terminer, j'ai un avis mitigé, le sujet me parle, la personnage principale pourrait même être ma propre caricature et pourtant je n'ai pas réussi à la trouver totalement crédible et je n'ai pas pris vraiment plaisir à la lecture, je veux dire sur le plan littéraire, c'est peut-être dû à la traduction, comme si j’avançais sur un terrain trop cahotant, où on s'embourbe, on décroche trop facilement, et donc je me dis, vu que l'auteur a eu un prix Nobel quand même (pour un autre livre), que ça doit être la traduction... Je dis mitigé parce qu'il y a quand même une ambiance qui parfois m'a bien plu, et puis bon le sujet lui me parle au point que peut-être je n'ai justement pas pu apprécié ce qui me semble être une caricature. C'est curieux, car je n'arrive pas à vraiment m'expliquer pourquoi je n'ai pas été enthousiaste à cette lecture.

Olga Tokarczuk est une romancière et essayiste polonaise née le 29 janvier 1962 à Sulechow : elle a obtenu le prix Nobel de Littérature 2018, décerné en 2019. Elle est reconnue par le public et par la critique. 

 

Voilà la présentation : "

Après le grand succès des Pérégrins, Olga Tokarczuk nous offre un roman superbe et engagé, où le règne animal laisse libre cours à sa colère. Voici l’histoire de Janina Doucheyko, une ingénieure en retraite qui enseigne l’anglais dans une petite école et s’occupe, hors saison, des résidences secondaires de son hameau. Elle se passionne pour l’astrologie et pour l’œuvre de William Blake, dont elle essaie d’appliquer les idées à la réalité contemporaine. Aussi, lorsqu’une série de meurtres étranges frappe son village et les environs, au cœur des Sudètes, y voit-elle le juste châtiment d’une population méchante et insatiable.

La police enquête. Règlement de comptes entre demi-mafieux ? Les victimes avaient toutes pour la chasse une passion dévorante. Quand Janina Doucheyko s’efforce d’exposer sa théorie – dans laquelle entrent la course des astres, les vieilles légendes et son amour inconditionnel de la nature –, tout le monde la prend pour une folle. Mais bientôt, les traces retrouvées sur les lieux des crimes laisseront penser que les meurtriers pourraient être… des animaux !"

 

Prix Nobel de littérature, Olga Tokarczuk a reçu le Man Booker International Prize 2018 pour Les Pérégrins. Traduit en français en 2010 chez Noir sur Blanc, ce roman avait été couronné par le prix Niké (équivalent polonais du Goncourt), un prix que, chose rarissime, l’auteure a une nouvelle fois reçu pour son monumental roman : Les Livres de Jakób.

Née en Pologne en 1962, Olga Tokarczuk a étudié la psychologie à l’Université de Varsovie. Romancière polonaise la plus traduite à travers le monde, elle est reconnue à la fois par la critique et par le public. Sept de ses livres ont déjà été publiés en France : Dieu, le temps, les hommes et les anges ; Maison de jour, maison de nuit (Robert Laffont, 1998 et 2001) ; Récits ultimesLes Pérégrinset Sur les ossements des morts (Noir sur Blanc, 2007, 2010, 2012) ; Les Enfants verts (La Contre-allée, 2016) ; et enfin Les Livres de Jakób (Noir sur Blanc, 2018).

 

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