Esther Kä
Je me laisse trop facilement emporter par mon imagination romanesque. Pourtant les illusions sont de plus en plus brèves. Très vite, sans que je ne puisse voir ni où, ni comment, ma perception bascule et le doute se faufile. J’éprouve alors un irrésistible besoin d’espace, de respiration, le large… De l’air quoi !
cg, novembre 2000
in Calepins voyageurs et après ?