Christopher L. T. Brown
L’homme sans racine s’enfauve, s’enrapace. Sans racine, l’homme s’en meurt, s’enfuit et ne revient plus au lieu mythique où il a laissé son cœur. Un cœur nouveau né abandonné qui sait à peine battre mais qui pourtant cogne, résonne comme un tambour.
cg in Chroniques du hamac, 2008