Jean-Christophe Fonteyne
Oui, nos pagodes s'évaporent en délires de lois froides,
Nous arrosons nos nuits de douleurs mécaniques et désincarnées,
Haïssant tant la vie que nos rues
Sont vides même d'insectes !
in Barbares
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Oui, nos pagodes s'évaporent en délires de lois froides,
Nous arrosons nos nuits de douleurs mécaniques et désincarnées,
Haïssant tant la vie que nos rues
Sont vides même d'insectes !
in Barbares