Jean-Marc Lafrenière
Je passe au trot sur un cheval de bois, lapant l’eau des nuages dans les fossés du ciel, les yeux éclaboussés par l’avoine du soleil.
in Parce-que
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Je passe au trot sur un cheval de bois, lapant l’eau des nuages dans les fossés du ciel, les yeux éclaboussés par l’avoine du soleil.
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