Jean-Marc La Frenière
J’en ai assez qu’on trace des graffitis avec des corps vivants sur les champs de bataille, qu’on nous couse les lèvres avec du fil barbelé, qu’on nous casse les couilles sous les électrochocs et les agios bancaires, qu’on blanchisse les crimes sous la raison d’État. Je préfère la beauté avec son sexe mal caché, ses cheveux en désordre, ses fesses rondes comme la lune, ses grandes jambes d’azur chevauchant l’infini.
in Parce que