Edward S. Curtis

Navajo Cornfields - Cantildeon Del Muerto, 1906

 

 

White Singer, Navajo, 1906

 

 

Blanket maker, Navajo, 1904

 

 

Navajo woman, 1904

 

 

 

 

 

Slaheddine Haddad

A chaque réveil matinal

 Pointe en moi une identité choisie et mesurée

 La suspecte être celle de la veille

 

 

Edward S. Curtis

Umatilla Boy in Feather Head Dress, 1910

 

 

Atlumhl with ceremonial mask, 1914

 

 

Daughter Bad Horse, Cheyenne, 1905

 

 

Cédric Le Penven

  

Ce qu’il reste d’une mer, la roche tatouée de squelettes, la fantasmagorie plus dure, plus molle que la chair. Elle écarte des plaies qui rêvent de coups de rasoir. Ce rouge, ces ventres sioux tournés vers le ciel, c’est l’assurance de grandir un peu.

  

in L’immobile serti de griffes

 

Edward S. Curtis

Uphaw, Which Way, and an unidentified Crow Indian on horseback. Crow War party, 1905

 

 

Crow Scout in winter in Montana, 1908

 

 

Winter Crow camp, 1908

 

 

 

Anne Moore - Pausing in Orbit

 

 

Edward S. Curtis

Jicarilla-Cowboy, 1905

 

 

Slow Bull's Wife, 1907

 

 

Matoacuteki Brave, Alberta, Canada, 1927

 

 

 

 

Cédric Le Penven

Je mime l’indifférence. Multiplie les feintes, les chutes contrôlées. Je camoufle ma soif. Fais mine d’ignorer les étendues rases.

 

 in L’immobile serti de griffes

 

 

Edward S. Curtis

Apache Dancers, 1906

 

 

Two Apache Women Campfire Cooking, 1903

 

  

Apache Woman Reaping and Gathering Wheat, 1906

 

 

Apache Wickiup (grass hutt), 1903

 

 

 Zosh Clishn, Apache girl, 1906

 

 

 

 

 

 

Anne Mounic

 

Le bond hors du tragique : ce je peux de tout l’être

Qui tend vers son essence, fouille l’origine,

 Pour ne pas dépérir, pour ne pas mourir

 Comme une voix dévoyée, la source oubliée, peut-être même interdite.

  

 in cobra sous le chant, médusé, dansant, conquis pour un instant…

 

 

 

David de la Mano

 

Guy Levis Mano

 

 

Les murs m’ont inoculé l’obsession du dehors

 

 

 

 

Odilon Redon - Apache - 1875

 

Anton Mauve

 

 

Patrick Joquel

Là au lendemain de l’orage et parmi ces verts si neufs je vais. Je marche. En silence. Un silence aussi léger que funambule. Tout propre. Au-dessus du plateau, le vent joue à gonfler ses ballons blancs. Le chemin file comme une montgolfière.