Dead Brothers - Black Moose
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On appelle Homme vert ou « Homme feuillu » les représentations sculptées ou dessinées d'un visage d'homme orné de feuillage, ou encore de branches, pousses ou autres motifs végétaux. C'est un symbole d'origine très ancienne dont on retrouve le mythe dans de nombreuses cultures. Aux travers de celles-ci il prend des aspects différents. Même si toutes ces cultures n'avaient pas de contacts entre elles, il semblerait qu'il soit continuellement lié à la Nature et au printemps. Mike Harding qui a publié un petit ouvrage sur le sujet cite des représentations similaires à Bornéo, au Népal et en Inde. Dans le monde occidental on le retrouve principalement sculpté dans les églises ou en ornement sur des bâtiments séculiers. On en trouve donc des représentations très anciennes à Bornéo, au Népal, en Inde, au Liban, en Israël et en Irak. En sanskrit, l'homme vert est relié au motif du Kirtimukha qui est relié à une lila de Shiva et Rahu. Le Kirtimukha se rencontre souvent dans l'art et l'iconographie thangka du bouddhisme vajrayāna, dans lequel il couronne souvent la roue de l'existence karmique. Dans l'islam, el khidr, le Verdoyant, est un sage, dont on dit parfois que l'herbe pousse partout où il s'assoit, car il aurait bu de l'eau de vie. Il a une place importante dans le soufisme. En Inde il prend le nom de "Kizr".
Les bêtes lassées
Du ululement des jours,
reposant dans leurs cryptes végétales
comme des offrandes oubliées
In Eclats
Tu viens, tu m’inspires
Nous sommes tous
L’entité d’un autre
La peur
Illusions urticantes
La jouissance
Infinie
Comme une drogue
Une transe
Un puits.
cg 2007 in Emprise
http://www.vassilistangoulis.com/gr/
Des papillons suintent
Des scissures de ton corps
Libres/ils coulent/tel un friselis d’eau
Ainsi je serai vidée de mon rêve
in Psalmodies
tiré du livre El corazón del mundo
Tu sais que je m’enfonce. Quand j’ai besoin de créer des murs autour du silence. De lui construire une gangue. Un piètre édifice. Tu sais que je m’enferme pour chercher, que je parle avec un double. Que je frôle des canines aiguisées.
in L’immobile serti de griffes