Anne Mounic
Voici l’essence du tragique : l’impuissance du geste, la passivité
De celui qui se refuse, à lui-même avant d’en priver les autres,
Ce qu’il devrait aimer sans contrepartie, le geste de la minute
Et l’oubli du geste, de la minute et de tout le reste,
Pour une joie partagée, sans préjugés, ni regrets, ni même pitié de soi.
in cobra sous le chant, médusé, dansant, conquis pour un instant…