Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Raoul Vaneigem

 

Ce qui est mieux connu est mieux compris et mieux aimé. Pour peu qu'il préfère une once de chair vive à une once de chair morte, un chercheur étudiant les loups, les chevêches, les fourmis, les grenouilles ou les poulpes perd toute envie de les tuer et s'attache, au contraire, à les protéger. L'approche humaine de la faune et la flore perdrait-elle sa pertinence en s'appliquant aux hommes dénaturés par une économie de prédation ? 

in Rien n'est sacré, tout peut se dire

 

 

Les commentaires sont fermés.