Anne Jullien-Perrouas
J’ai le goût de la nuit, du rêve et du sommeil.
J’entre dans la nuit comme dans la gueule ouverte d’un boa
Et là je me dépose, je fuis, je rêve, vêtue de ma peau et de la peau du boa
Personne ne s’aventure autour d’un boa qui digère
In La nuit du boa