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Pierre Colin

 

Les passereaux emportent les destins, frères aux jabots de feu, fées aux longs yeux d’amantes, pluies sacrées. L’étreinte à l’âge des clavicordes.

 

Chants de nos cygnes intimes, trouvés morts dans l’aurore, quand le ciel lentement se défait de ses linges de femmes sur le seuil.

 

 Ce goût de vieux futur dans la bouche indécise.

 

in Je ne suis jamais sorti de Babylone

 

 

 

 

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