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Dubravka Babić

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J’apprends la tranquillité du chat et reçoit l’assourdissant bruissement de tout ce qui m’entoure. Chante l’oiseau, à me tourner la tête d’un bonheur toujours plus fou, à me faire juter l’âme. Des pans entiers d’armure étriquée qui s’effondrent, étriquée et ridicule. J’avance, féline, toujours plus nue, toujours plus libre. Le monde est dense, moelleux et la végétation est un champ de louanges. Les coutures ont craqué, les masques, les camisoles, les obligations factices ont fondu comme cubes de glace sous des cascades de feu, comme voleront ces mots à la prochaine tempête…

 

cg in A la loupe

 

 

 

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