Jean-Marie Kerwich
Parfois je voudrais offrir à ma pensée de jolis mots pour la vêtir, mais elle n'en veut pas : si je maquille ma vérité, le maquillage ne tiendra pas sur le visage de mon poème.
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Parfois je voudrais offrir à ma pensée de jolis mots pour la vêtir, mais elle n'en veut pas : si je maquille ma vérité, le maquillage ne tiendra pas sur le visage de mon poème.