Abdelmadjid Kaouah
Je plante mon arbre
là où l’eau broie la chevelure du soleil
écartelé entre deux ateliers de violence
et c’est l’amour sur les chemins parallèles
des hommes
in Par quelle main retenir le vent
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Je plante mon arbre
là où l’eau broie la chevelure du soleil
écartelé entre deux ateliers de violence
et c’est l’amour sur les chemins parallèles
des hommes
in Par quelle main retenir le vent