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Moez Maged

 

J’aimerais traîner, la nuit, perdu dans la misère, arpentant les pavés d’un bidon ville à Buenos Aires. Et sentir soudain le tranchant d’une lame qu’enfonce un gamin dans le creux de mes reins.

 

 

Et me dire enfin : « c’est fini ». M’effondrer sur le sable, la nuit…

 

 

 

in Les rêveries d’un cerisier en fleurs (Décharge 147)

 

 

 

 

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