Saïd Mohamed
Dans le ciel, les oiseaux semblent pétris d’infini.
J’ai gardé au fond de ma poche le ticket froissé.
in L'éponge des mots
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Dans le ciel, les oiseaux semblent pétris d’infini.
J’ai gardé au fond de ma poche le ticket froissé.
in L'éponge des mots