Jean Christophe Fischer
L’ego et l’empathie sont inconciliables : pour que l’empathie grandisse, l’ego doit céder du terrain. L’ego n’est qu’une masse de pensées cristallisées et plus il est fort, plus il craint les autres egos. Plus il se croit humble et tolérant, plus il se compromet avec lui-même. J’apprends de mes « alter egos ». J’apprends, j’avale, à en vomir, tellement nous sommes égarés, produits ratés d’une société débilitante.
in (c)Ourse (bi)polaire