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Jean-Louis Millet - illustration originale "Le poulpe et la pulpe"

 

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A l’envers fluide du vertige, respirer un oiseau, battre la peau des tympans.

 

Pluie visqueuse, trop palpable.

J’ai mal à elles, mal à eux.

 

Illusions. Ne pas être touchée par le malheur, la massue, le missile qui s’abat sur toi autre moi.

 

Chaque coup, blessure, torture sont portés à ton ardoise,

Homme qui au galop voudrait fuir tes propres jambes.

 

Arrête la main, le bras, le pouvoir de celui qui frappe !

Arrête de frapper, arrête la bouche, le mensonge !

 

Tais-toi !

Tais-moi.

 

Et mâchons nos poulpes.

 

in Le poulpe et la pulpe (Cardère, 2010)

 

 

 

 

Commentaires

  • Merci pour le clin d'oeil

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