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Lionel Mazari

 

Nous rentrerons trop tard ;
la mer sera fermée.
Nous sécherons peut-être 
et mêlerons notre poussière 
au sable des sirènes 
surprises par la nuit.

Des pas d'oiseaux écorcheront 
la fine peau de ciel 
qui nous protège des saisons. 

 

in L'impossible séjour

 

 

 

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