Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Bakhtiar Ali

 

je n’avais rien tenu d’autre dans mes mains qu’un fusil. Ce qui était important pour moi, c’était de tirer sur le monde depuis quelque part. Je ne savais pas pourquoi je faisais la guerre, je ne savais pas qui faisait la guerre, je ne savais pas qui je tuais ni qui me tuait… Mais rien de tout cela n’était important. Ce qui était important, c’était que je tire sur le monde depuis quelque part. (…) J’étais aussi sale que les guerres que je faisais.

 

in Le dernier grenadier du monde

 

 

 

Les commentaires sont fermés.