Errico Malatesta, 1920
Nous ne devons pas oublier que la violence, malheureusement nécessaire pour résister à la violence, ne sert à édifier rien de bon, qu’elle est l’ennemie naturelle de la liberté, l’accoucheuse de la tyrannie, et que par conséquent elle doit être contenue dans les limites les plus strictes de la nécessité.