Alla Tsank
Sens-tu les yeux froncés du soir cerner ton âme de crépuscule ?
Le vent s’est tu, les ombres conspirent. Viendra la nuit envahissante au souffle ample. Viendront les bras et le corps, viendra la chair à refermer comme dernière page.
En hiver, les hamacs sont décrochés.
cg in Chroniques du hamac, 2008