Folco Terzani
Mon père a laissé les choses quotidiennes - le journalisme - pour se consacrer à ce qu'il appelait le pérennialisme, c'est-à-dire s'occuper de choses pérennes. (...)
Il voulait communiquer quelque chose d'éternel dont on ne parle peut-être plus. Comme faire confiance au cœur, à la tête, à ce que l'on ressent à l'intérieur sans s'encaisser nécessairement dans ces possibilités que la société offre. Comment dire... Fais ce que tu veux et ça marchera. Avoir bref le courage de faire sa vie, celle où finalement on peut se reconnaître.