Marguerite Yourcenar
Je pensais avec un serrement au cœur, que rien n'est plus lent
que la véritable naissance d'un homme.
in Mémoires d'Hadrien
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Je pensais avec un serrement au cœur, que rien n'est plus lent
que la véritable naissance d'un homme.
in Mémoires d'Hadrien