Lionel Mazari
Je fais miroir à qui me voit ; et c’est pourquoi
une main aveugle, à tâtons, m’a relégué
dans ce grenier, où, tel un souvenir perdu,
je bois contre la paroi le sucre de la pluie
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Je fais miroir à qui me voit ; et c’est pourquoi
une main aveugle, à tâtons, m’a relégué
dans ce grenier, où, tel un souvenir perdu,
je bois contre la paroi le sucre de la pluie