Annie Ernaux
à 16 ans je lisais Les armoires vides, à 31, Se perdre, à 37, Le journal du dehors et ça me suffit pour dire que je suis très contente qu'Annie Ernaux soit nobelisée parce qu'avant tout elle est aussi une femme de parole, fidèle à ses belles convictions, véritablement engagée c'est à dire pas indifférente et sans mémoire...