23/01/2023
Andrew Bret Wallis
D’ici on ne repart plus, les jambes prises, langueur ensorcelée que seul le vent sait rompre. Pour partir il faut des ailes, les ailes sont si lentes à pousser et la nuit exhibe ses étoiles, si vous saviez, il y en a tant, étranges cristaux rivés au triangle obscur du ciel.
in Chroniques du hamac
23:28 Publié dans FUSIONS POÉTIQUES | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Belle harmonie même si la lenteur de pousse des ailes etc.... clin d'oeil !
Écrit par : jl | 24/01/2023
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