Andrew Bret Wallis
D’ici on ne repart plus, les jambes prises, langueur ensorcelée que seul le vent sait rompre. Pour partir il faut des ailes, les ailes sont si lentes à pousser et la nuit exhibe ses étoiles, si vous saviez, il y en a tant, étranges cristaux rivés au triangle obscur du ciel.
in Chroniques du hamac
Commentaires
Belle harmonie même si la lenteur de pousse des ailes etc.... clin d'oeil !